Derniers articles de blog

Comment savoir si l’on est vraiment amoureux ? Les signes à reconnaître

Simple attachement ou sentiments véritables ? Lorsque le cœur fait un saut, l’état amoureux est reconnaissable via des comportements ou schémas de pensée. Voici les signes qui ne trompent pas et traduisent une passion incontestable.

Dans les films et les séries, dans les livres, autour de nous… L’amour est partout. Il fascine. D’autant plus lorsque deux personnes vivent une histoire intense et prétendent être amoureuses l’une de l’autre. Dans la vie de tous les jours, comment reconnaître ce sentiment, bien différent des autres ? Véronique Kohn, psychologue spécialiste des relations amoureuses, revient sur les particularités de la passion amoureuse et sur ce qui permet de reconnaître les cœurs en folie.

Lire la suite ici

L’amnésie traumatique permet de survivre à l’inceste

Alors que les témoignages des victimes d’inceste et d’abus sexuels subis durant l’enfance se multiplient, comment comprendre les sursauts de la mémoire des années, parfois même des dizaines d’années, après les faits? Décryptage d’un phénomène.

En Suisse, une personne sur cinq est victime d’abus sexuels durant son enfance. Dans 80% des cas, l’agresseur est un membre de la famille. La vague #metooincest, qui déferle aujourd’hui sur les réseaux sociaux, met à jour ces expériences traumatiques, brisant le tabou de l’inceste. La littérature aussi s’empare de ce sujet douloureux, à l’instar de Camille Kouchner dans La familia Grande[1] où elle évoque les abus sexuels subis par son frère jumeau alors qu’ils étaient enfants. Très souvent, ces faits sont « passés sous silence » des années durant. Selon les chiffres de l’enquête « Impact des violences de l’enfance à l’âge adulte » (2015), réalisée par l’association française Mémoire traumatique et victimologie, 46% des victimes mineures ont présenté une période d’amnésie traumatique lorsque les violences subies ont été commises par un membre de la famille. Des années, voire des dizaines d’années, peuvent s’écouler avant que les souvenirs traumatiques ne refassent surface.

Lire la suite ici

Top 10 des troubles sexuels les plus courants (+ solutions)

La sexualité fait partie intégrante du quotidien : source de plaisir ou fonction de reproduction, elle permet d’entrer en connexion avec son corps et ses sensations, mais aussi de profiter d’une osmose avec son ou sa partenaire. Cependant, avoir une sexualité épanouie n’est pas toujours chose aisée et parfois la sexualité peut, pour diverses raisons, devenir une source de stress et d’angoisse. Peuvent alors s’en suivre : baisse de la libido avec une perte de plaisir et de désir, douleurs pendant les rapports, troubles érectiles … c’est l’apparition des troubles sexuels.
Ces derniers, quand ils ne sont pas d’ordre physique ou mécanique, peuvent trouver leur origine d’un point de vue psychologique.
En effet, les problèmes du quotidien qui occupent votre esprit peuvent annihiler votre capacité et vos envies sexuelles. Dans certains cas, ce sont les idées reçues et préconçues que l’on a de la sexualité qui peuvent être de vrais freins à la découverte de son propre plaisir. La sexualité est donc loin d’être un parcours linéaire et sans embûche.
Pourtant, nombreuses sont les dysfonctions sexuelles courantes pouvant être soignées : nous vous proposons d’en découvrir 10, accompagnées des solutions permettant de les traiter.

Lire la suite ici

Qu’est-ce que la prégabaline, cette « drogue du pauvre » saisie en masse par les douanes françaises ?

  • Les saisies de prégabaline, un médicament prescrit contre l’épilepsie, le trouble anxieux généralisé et les douleurs neuropathiques, se multiplient ces derniers mois.
  • « La prégabaline devient la première substance faisant l’objet d’ordonnance falsifiée », explique l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
  • « Comme les morphiniques, le tramadol ou la codéine, elle est détournée pour son effet calmant car il s’agit d’un dépresseur du système nerveux », explique Hervé Martini, médecin addictologue et secrétaire général de l’association Addictions France.

Oui à l’interdiction des thérapies de conversion, mais attention !

L’interdiction des « thérapies de conversion », mettant des homosexuels ou hétérosexuels sous emprise psychologique et spirituelle est interdite à juste titre, et j’y souscris. Car il y a eu trop d’abus et de dérives à ce sujet dans les milieux religieux de tout bord. Désormais, c’est fini ! Place à la protection de la personne.

Mais attention, toute thérapie qui concerne l’écoute et l’aide psychologique et parfois spirituelle des personnes en trouble ou changement identitaire n’est pas « thérapie de conversion ». Et c’est là que le bât blesse, c’est là que pourrait commencer une désagréable chasse aux sorcières.

Attention à ne pas diaboliser systématiquement toute association ou personne qui œuvrerait dans ce but, ce serait alors diaboliser tous les thérapeutes, pasteurs ou prêtres dont la mission est l’écoute, la compassion, l’aide inconditionnelle. Certains groupes de parole existent, et ils sont équilibrés et sans emprise. Ils ont le mérite d’exister, et sont courageux ! Ils évitent un certain nombre de suicides et de dépressions graves.

Une personne homosexuelle qui retrouve -seule et de son propre chef, et après avoir parfois (mais pas toujours) reçu des conseils éclairés et éclairants, sans aucune pression ou emprise- son hétérosexualité latente, (ce qui fut mon cas à l’âge de 23 ans, après avoir milité dans le FHAR, le Front Homosexuel à Action Révolutionnaire -1975) ne devrait jamais être inquiétée et brimée, car :

– ce serait un viol et un abus psychologique

– ce serait infliger une double peine

– ce serait provoquer une tentative de suicide à moyen terme

– ce serait une avenue ouverte vers les addictions, les drogues, le chemsex, l’alcool, l’autodestruction dans des rapports non protégés

– ce serait une atteinte aux libertés individuelles

– enfin, de quel droit l’État ou les lobbies imposeraient-t-ils aux citoyens d’être hétérosexuel ou homosexuel ?

Malheureusement certains lobbies seraient prêts à faire voter une loi qui viserait ces personnes, et viserait leurs accompagnateurs, car de savoir qu’un homosexuel peut devenir (par décision et conviction personnelle seule, sans emprise ou influence même morale ou religieuse) hétérosexuel, les dérange, cela prouverait leurs extrémismes et leur étroitesse d’esprit, ceux qui sont en général propres à tous les lobbies.

Personnellement, j’ai pu rencontrer des milliers (oui des milliers) d’homosexuel(le)s ayant volontairement changé d’identité sexuelle, et qui vivent actuellement soit célibataires, soit en couple hétérosexuel. Ils sont assez heureux et épanouis.

J’en fais partie et ai eu 6 enfants et 9 petits enfants. Je suis pleinement heureux…

Si l’on ne fait jamais cas des milliers d’hétérosexuels qui deviennent homosexuels un jour, pourquoi alors cette intolérance obstinée et sectaire à ne jamais vouloir reconnaître que l’inverse est parfois vrai aussi ?

Si l’on ne fait pas cas du changement de genre (qui nécessite un long suivi psychologique), pourquoi cet acharnement suspect, et cette hétérophobie envers les personnes homosexuelles qui ont su développer leur hétérosexualité puis la choisir comme mode de vie ?

Pst Ph. Auzenet – Fondateur et Aumônier de l’association OSER EN PARLER – 28.09.2023

Pourquoi la prostitution était-elle largement acceptée au Moyen Âge ?

Au Moyen Âge, une forme de prostitution légale, le « prostibulum publicum » existait. Ces « bordels » étaient dirigés par une abbesse ou un tenancier. Pourtant, la prostitution était fréquemment condamnée par le pouvoir royal et par l’Église au Moyen Âge.
Au Moyen Âge, le « prostibulum publicum« , régie par les autorités publiques, était une forme de prostitution « légale. » Ces endroits, que le langage populaire qualifiait plus volontiers de « bordels », étaient dirigés par une abbesse ou un tenancier qui étaient aussi chargés du recrutement des filles.

Lire la suite ici : CLIC

C’est prouvé : on peut changer de personnalité au cours de sa vie. Les explications d’un spécialiste

Peut-on complètement changer de personnalité au cours de sa vie ? Oui, répond un spécialiste de la psychologie. En revanche, cette évolution est rare. Si vous souhaitez changer, il faudra faire preuve de ténacité. On vous explique cela.

Lire la suite ici : CLIC

Votre couple ne fonctionne plus ? Vous êtes peut-être dans un « divorce invisible »

Certains couples ont l’air parfaits. Mais, dans l’intimité, la communication n’est plus là. La vie tourne autour de l’administratif ou des enfants, la passion a disparu, l’amour aussi, parfois… On parle alors de « divorce invisible ».

Préserver les apparences coûte que coûte, même quand l’affection et l’intimité semblent avoir quitté le domicile conjugal. Cette situation porte un nom : le divorce invisible.

Lire la suite ici : CLIC

« J’aime un homme qui n’existe pas » : qu’est-ce que la fictosexualité ?

Gari et Nath sont amoureux.ses d’un personnage de fiction : iels sont fictosexuels. Une orientation méconnue et très stigmatisée. Si leurs bien-aimés ne sont pas réels, leurs sentiments pour eux le sont. Iels racontent.

« J’ai rencontré l’amour de ma vie à l’âge de 14 ans ». Gari, 38 ans est fictosexuel. Depuis plus de 20 ans, il entretient une relation avec le Général Blue, du manga Dragon Ball. Si nous avons tou.te.s déjà eu un crush sur un personnage fictif, la fictosexualité est une orientation sexuelle à part entière. Au Japon, Akihiko Kondo s’est marié avec un hologramme représentant Hatsune Miku, une chanteuse virtuelle à succès. Après une relation de dix ans, qui selon M. Kondo l’a sorti d’une profonde dépression, il a déboursé près de 15 000 euros pour la cérémonie à Tokyo en 2018. 

Lire la suite ici : CLIC