3 différents types d’infidélité et leurs sous-types

Si votre partenaire vous a trompé, au moins vous n’êtes pas seul. On estime que la tromperie se produit dans 25% des relations engagées – ou du moins supposées engagées. L’estimation est presque certainement une sous-estimation. Combien de personnes, interrogées, vont admettre qu’elles ont trompé ou, pire, qu’elles trompent encore maintenant ?

Il existe 3 principaux types d’infidélité et d’autres subdivisions existent également. Avant de savoir comment réagir à l’infidélité, savoir le type d’infidélité aide à identifier le genre.

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«Plus les violences sexuelles ont lieu tôt dans l’enfance, plus leurs conséquences peuvent être lourdes à l’âge adulte» – 20minutes.fr

Après le choc, les séquelles. Les viols et les agressions sexuelles subies par les enfants peuvent avoir des répercussions tout au long de leur vie s’ils ne bénéficient pas de soins appropriés, comme le montre une étude* de l’association mémoire traumatique et victimologie avec le soutien de l’Unicef France publiée ce dimanche.

«Plus les violences sexuelles ont eu tôt dans l’enfance et plus elles sont graves, plus leurs conséquences peuvent être lourdes à l’âge adulte, car les enfants ont souvent subi des agressions répétées et ont moins d’outils pour se défendre que les adultes. Le fait qu’il s’agisse d’inceste est aussi un facteur aggravant, car la victime aura tendance à ne plus faire confiance à personne», commente le docteur Muriel Salmona, présidente de l’association mémoire traumatique et victimologie. Or, 81% des victimes interrogées pour l’étude déclarent avoir subi des violences sexuelles avant l’âge de 18 ans, dont 51% avant 11 ans. Et dans plus de la moitié des cas, leur agresseur était un membre de la famille.

Les flash-back traumatiques

Les séquelles de ces violences sont d’abord mentales. «Les victimes développent souvent une mémoire traumatique qui les amène à revivre à l’identique les violences subies. Lors de ces flash-back, elles éprouvent la même détresse, les mêmes douleurs», décrit Muriel Salmona. Et ces tortures psychologiques peuvent entraîner un désir de mort (éprouvé chez 78% des victimes interrogées), ce qui explique que 42% d’entre elles déclarent avoir déjà tenté de se suicider.

Après un tel drame, l’estime de soi est aussi en miettes «car les victimes ne se voient qu’à travers le regard de l’agresseur», précise Muriel Salmona. D’où des troubles anxieux, des troubles de la personnalité et des conduites à risques: «Les victimes vont par exemple se scarifier, multiplier les relations sexuelles, consommer de l’alcool ou se droguer, ou encore s’asseoir sur le rebord d’une fenêtre pour tenter de s’anesthésier émotionnellement», décrit le médecin. Avec des répercussions néfastes sur leur vie familiale, affective et professionnelle.

Des risques pour la santé à moyen et long terme

Des comportements qui vont avoir aussi une incidence sur la santé des victimes. A terme, les conduites addictives peuvent entraîner la survenue de cancers, de maladies auto-immunes, de problèmes pulmonaires ou de problèmes cardio-vasculaires. «Et l’état de stress extrême peut générer des problèmes de tension, des douleurs chroniques, des troubles musculosquelettiques, des troubles alimentaires et des pathologies psychiatriques», poursuit Muriel Salmona.

Autre conséquence plus méconnue: «certaines victimes développent une tolérance plus importante à la douleur physique, ce qui rend plus difficile le diagnostic de maladies. Sans compter qu’elles ont généralement moins accès aux soins, car certains examens médicaux sont insupportables pour elle. Difficile par exemple de consulter un gynécologue quand on a subi un viol», précise Muriel Salmona.

Mais dans ce sombre constat, il reste une lueur d’espoir. «Même des années après l’agression, on peut traiter les mécanismes psychotraumatiques de la victime et lui permettre de reprendre le cours de sa vie», insiste le médecin. D’où son appel aux pouvoirs publics afin qu’ils forment davantage de professionnels de santé à la prise en charge précoce des victimes de violences sexuelles.

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Olivier Moulin / Accros au porno… même les femmes ! « Actu-Chretienne.Net

Des millions de gens dans le monde sont dépendants de la pornographie et la masturbation, au même titre que l’alcool, le tabac et autre drogue. Mais ce que l’on sait moins, c’est que…

…beaucoup de ces personnes sont des femmes, et même des chrétiennes…

Lorsque l’on parle de porno-addiction, on pense en général à un homme, jeune et célibataire. Pourtant, beaucoup de femmes sont littéralement esclaves de la pornographie.

Et non, le porno n’est pas qu’un truc de mecs ! Même si les hommes sont les plus concernés, le nombre de femmes accros aux films pornos est loin d’être négligeable. Elles ne peuvent s’empêcher de passer une partie de leur temps devant leur écran d’ordinateur. Ce mal les obsède et les tourmente. C’est une véritable souffrance qui les tue à petit feu.

La pornographie chez les femmes est un sujet très tabou et beaucoup d’entre-elles n’osent pas en parler, par crainte du ridicule, par peur de passer pour quelqu’un d’anormal, par peur d’être jugée, ou parce que, bien souvent dans les églises, nous avons été conditionnés à cacher les apparences pour projeter la fausse image d’un être parfait.

Je ne connais pas les statistiques françaises, mais selon une étude menée aux USA, sur 40 millions d’américains qui se rendent sur des sites pornographiques, 33 % sont des femmes. Et contrairement aux idées reçues, les films qu’elles regardent ne sont pas moins trash. Il n’y aurait pas de porno soft sous prétexte qu’elles seraient des femmes.

La pornographie féminine concerne les chrétiennes de toutes les catégories sociales et de tous les âges. Il y a même des femmes pasteurs ou évangélistes qui y sont accros. Parmi celles qui prêchent et occupent des fonctions importantes dans l’église, certaines vivent avec un lourd secret.

Je viens de lire un livre écrit par Shelley Hitz, «A christian woman’s guide to breaking free from pornography» («Un guide pour se libérer de la pornographie à l’intention des chrétiennes»), qui traite du sujet. Malheureusement, il n’est disponible qu’en anglais, mais je vous le recommande si vous parlez un peu l’anglais. Vous pouvez aussi visiter son site ou voir sa vidéo sur Youtube.

Shelley Hitz parle de sa propre expérience et nous pouvons saluer son courage, car il en faut pour oser parler publiquement de son ancienne habitude. Mais ce qu’il faut aussi noter, c’est qu’elle est fille de pasteur, qu’elle était mariée, remplie du Saint Esprit, et déjà une auteure à succès durant ses années d’esclavages.

Aujourd’hui, elle est sobre et ne regarde plus de pornographie. Elle admet tout de même être tentée par des fantasmes, mais la tentation n’est pas le péché. Elle reconnait cependant avoir encore besoin de l’aide du Seigneur, question masturbation, car la victoire n’est pas encore totale dans ce domaine.

La pornographie se définit par : «Une représentation graphique ou mentale à caractère sexuel par le moyen du dessin, de l’écriture, de la photo, du cinéma, ou de l’imagination».

Elle donne un certain nombre de conseils pour en sortir, mais elle admet que la vie avec Dieu ne repose pas sur des principes mécaniques, car chacun est différent. Elle apporte néanmoins des conseils qui lui ont été utiles. J’ai moi-même traité du sujet dans d’autres textes et je ne vais pas revenir dessus.

Mais une clé qu’elle recommande particulièrement est déjà d’avoir le désir sincère de vouloir s’en sortir. Pendant de nombreuses années, elle se rendait sur de mauvais sites et s’était accoutumé à son problème. Sa conscience ne la reprenait presque plus.

Le Seigneur a attendu toutes ces années jusqu’au point où elle dû, par elle-même, reconnaître son problème et en avoir marre. Le Seigneur ne pourra rien faire tant que vous n’aurez pas cette rage intérieure et le désir profond de vous en sortir.

Un autre conseil qu’elle donne est de se trouver une amie sincère et confidente. Vous pourrez lui confier votre problème, prier ensemble, et elle pourra suivre vos progrès… ou vos rechutes. Shelley Hitz dit qu’elles se retrouvaient une fois par semaine, et parfois une fois par mois.

Une autre chose qui l’a aidé est de se procurer des logiciels spécialisés. Ces logiciels, en langue anglaise, permettent de signaler à un ami partenaire les adresses des sites que vous fréquentez. Si vous consultez des sites pornos, votre ami, de son ordinateur, le saura.

Il en existe plusieurs : X3 watch free, Covenant eye, X3 wath pro. Le 1e est gratuit. Vous pouvez le télécharger sur ce site.

Enfin, elle admet que la délivrance a été un processus dans son cas, et que cela ne s’est pas produit du jour au lendemain. «Parfois, je faisais deux pas en avant, un pas en arrière, trois pas en avant, deux pas en arrière…» dit-elle.

Olivier Moulin, Pasteur

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