Oui à l’interdiction des thérapies de conversion, mais attention !

L’interdiction des « thérapies de conversion », mettant des homosexuels ou hétérosexuels sous emprise psychologique et spirituelle est interdite à juste titre, et j’y souscris. Car il y a eu trop d’abus et de dérives à ce sujet dans les milieux religieux de tout bord. Désormais, c’est fini ! Place à la protection de la personne.

Mais attention, toute thérapie qui concerne l’écoute et l’aide psychologique et parfois spirituelle des personnes en trouble ou changement identitaire n’est pas « thérapie de conversion ». Et c’est là que le bât blesse, c’est là que pourrait commencer une désagréable chasse aux sorcières.

Attention à ne pas diaboliser systématiquement toute association ou personne qui œuvrerait dans ce but, ce serait alors diaboliser tous les thérapeutes, pasteurs ou prêtres dont la mission est l’écoute, la compassion, l’aide inconditionnelle. Certains groupes de parole existent, et ils sont équilibrés et sans emprise. Ils ont le mérite d’exister, et sont courageux ! Ils évitent un certain nombre de suicides et de dépressions graves.

Une personne homosexuelle qui retrouve -seule et de son propre chef, et après avoir parfois (mais pas toujours) reçu des conseils éclairés et éclairants, sans aucune pression ou emprise- son hétérosexualité latente, (ce qui fut mon cas à l’âge de 23 ans, après avoir milité dans le FHAR, le Front Homosexuel à Action Révolutionnaire -1975) ne devrait jamais être inquiétée et brimée, car :

– ce serait un viol et un abus psychologique

– ce serait infliger une double peine

– ce serait provoquer une tentative de suicide à moyen terme

– ce serait une avenue ouverte vers les addictions, les drogues, le chemsex, l’alcool, l’autodestruction dans des rapports non protégés

– ce serait une atteinte aux libertés individuelles

– enfin, de quel droit l’État ou les lobbies imposeraient-t-ils aux citoyens d’être hétérosexuel ou homosexuel ?

Malheureusement certains lobbies seraient prêts à faire voter une loi qui viserait ces personnes, et viserait leurs accompagnateurs, car de savoir qu’un homosexuel peut devenir (par décision et conviction personnelle seule, sans emprise ou influence même morale ou religieuse) hétérosexuel, les dérange, cela prouverait leurs extrémismes et leur étroitesse d’esprit, ceux qui sont en général propres à tous les lobbies.

Personnellement, j’ai pu rencontrer des milliers (oui des milliers) d’homosexuel(le)s ayant volontairement changé d’identité sexuelle, et qui vivent actuellement soit célibataires, soit en couple hétérosexuel. Ils sont assez heureux et épanouis.

J’en fais partie et ai eu 6 enfants et 9 petits enfants. Je suis pleinement heureux…

Si l’on ne fait jamais cas des milliers d’hétérosexuels qui deviennent homosexuels un jour, pourquoi alors cette intolérance obstinée et sectaire à ne jamais vouloir reconnaître que l’inverse est parfois vrai aussi ?

Si l’on ne fait pas cas du changement de genre (qui nécessite un long suivi psychologique), pourquoi cet acharnement suspect, et cette hétérophobie envers les personnes homosexuelles qui ont su développer leur hétérosexualité puis la choisir comme mode de vie ?

Pst Ph. Auzenet – Fondateur et Aumônier de l’association OSER EN PARLER – 28.09.2023

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Au Moyen Âge, le « prostibulum publicum« , régie par les autorités publiques, était une forme de prostitution « légale. » Ces endroits, que le langage populaire qualifiait plus volontiers de « bordels », étaient dirigés par une abbesse ou un tenancier qui étaient aussi chargés du recrutement des filles.

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