Catégorie : Psychologie
3 différents types d’infidélité et leurs sous-types
Si votre partenaire vous a trompé, au moins vous n’êtes pas seul. On estime que la tromperie se produit dans 25% des relations engagées – ou du moins supposées engagées. L’estimation est presque certainement une sous-estimation. Combien de personnes, interrogées, vont admettre qu’elles ont trompé ou, pire, qu’elles trompent encore maintenant ?
Il existe 3 principaux types d’infidélité et d’autres subdivisions existent également. Avant de savoir comment réagir à l’infidélité, savoir le type d’infidélité aide à identifier le genre.
Et si vos chagrins d’amour étaient liés à la limérence?
La limérence fait référence à un état émotionnel intense et involontaire caractérisé par des pensées obsessionnelles et des sentiments d’infatuation envers une autre personne. Cela implique souvent un fort désir de réciprocité de ces sentiments et peut entraîner des réactions émotionnelles amplifiées, de l’euphorie et même de l’anxiété. Les personnes en proie à la limérence peuvent se retrouver à penser constamment à l’objet de leur affection, à idéaliser leurs qualités et à interpréter leurs actions de manière positive.
Les principales caractéristiques de la limérence incluent :
- Pensées Intrusives : Les individus en proie à la limérence ont souvent des pensées intrusives et répétitives à propos de la personne dont ils sont épris. Ils peuvent rêvasser à divers scénarios impliquant cette personne.
J’ai épluché un manuel de drague de 1922…
Homo sapiens n’a pas attendu les algorithmes de compatibilité amoureuse et les sites de rencontres pour flirter. La pratique de la séduction est aussi vieille que l’humanité elle-même, mais elle n’a pas toujours été désignée en ces termes: au Moyen Âge, les chevaliers «courtisent»; à la Renaissance, les galants «content fleurette». Ce dernier terme est né d’un anglicisme, «flirt», et son histoire est une aventure intime, faite de billets doux et de murmures secrets, témoin privilégié de l’évolution des mœurs.
Sans surprise, la «séduction» (qui désigne encore, au XVIIIe siècle, une tromperie ou un enlèvement) est longtemps restée un privilège masculin. Les dames, bâillonnées par des conventions sociales strictes – abstinence, passivité, virginité –, sont contraintes d’attendre qu’un célibataire vienne «coqueter» à leurs oreilles pour donner libre cours à leurs émois. Vers la fin du XIXe siècle, toutefois, le déséquilibre entre les sexes semble se combler du fait de l’émancipation progressive des femmes : droit au divorce, déclin des unions arrangées et, bientôt, accès au droit de vote puis à la contraception.
L’amnésie traumatique permet de survivre à l’inceste
Alors que les témoignages des victimes d’inceste et d’abus sexuels subis durant l’enfance se multiplient, comment comprendre les sursauts de la mémoire des années, parfois même des dizaines d’années, après les faits? Décryptage d’un phénomène.
En Suisse, une personne sur cinq est victime d’abus sexuels durant son enfance. Dans 80% des cas, l’agresseur est un membre de la famille. La vague #metooincest, qui déferle aujourd’hui sur les réseaux sociaux, met à jour ces expériences traumatiques, brisant le tabou de l’inceste. La littérature aussi s’empare de ce sujet douloureux, à l’instar de Camille Kouchner dans La familia Grande[1] où elle évoque les abus sexuels subis par son frère jumeau alors qu’ils étaient enfants. Très souvent, ces faits sont « passés sous silence » des années durant. Selon les chiffres de l’enquête « Impact des violences de l’enfance à l’âge adulte » (2015), réalisée par l’association française Mémoire traumatique et victimologie, 46% des victimes mineures ont présenté une période d’amnésie traumatique lorsque les violences subies ont été commises par un membre de la famille. Des années, voire des dizaines d’années, peuvent s’écouler avant que les souvenirs traumatiques ne refassent surface.
Top 10 des troubles sexuels les plus courants (+ solutions)
La sexualité fait partie intégrante du quotidien : source de plaisir ou fonction de reproduction, elle permet d’entrer en connexion avec son corps et ses sensations, mais aussi de profiter d’une osmose avec son ou sa partenaire. Cependant, avoir une sexualité épanouie n’est pas toujours chose aisée et parfois la sexualité peut, pour diverses raisons, devenir une source de stress et d’angoisse. Peuvent alors s’en suivre : baisse de la libido avec une perte de plaisir et de désir, douleurs pendant les rapports, troubles érectiles … c’est l’apparition des troubles sexuels.
Ces derniers, quand ils ne sont pas d’ordre physique ou mécanique, peuvent trouver leur origine d’un point de vue psychologique.
En effet, les problèmes du quotidien qui occupent votre esprit peuvent annihiler votre capacité et vos envies sexuelles. Dans certains cas, ce sont les idées reçues et préconçues que l’on a de la sexualité qui peuvent être de vrais freins à la découverte de son propre plaisir. La sexualité est donc loin d’être un parcours linéaire et sans embûche.
Pourtant, nombreuses sont les dysfonctions sexuelles courantes pouvant être soignées : nous vous proposons d’en découvrir 10, accompagnées des solutions permettant de les traiter.
Qu’est-ce que la prégabaline, cette « drogue du pauvre » saisie en masse par les douanes françaises ?
- Les saisies de prégabaline, un médicament prescrit contre l’épilepsie, le trouble anxieux généralisé et les douleurs neuropathiques, se multiplient ces derniers mois.
- « La prégabaline devient la première substance faisant l’objet d’ordonnance falsifiée », explique l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
- « Comme les morphiniques, le tramadol ou la codéine, elle est détournée pour son effet calmant car il s’agit d’un dépresseur du système nerveux », explique Hervé Martini, médecin addictologue et secrétaire général de l’association Addictions France.
Oui à l’interdiction des thérapies de conversion, mais attention !
L’interdiction des « thérapies de conversion », mettant des homosexuels ou hétérosexuels sous emprise psychologique et spirituelle est interdite à juste titre, et j’y souscris. Car il y a eu trop d’abus et de dérives à ce sujet dans les milieux religieux de tout bord. Désormais, c’est fini ! Place à la protection de la personne.
Mais attention, toute thérapie qui concerne l’écoute et l’aide psychologique et parfois spirituelle des personnes en trouble ou changement identitaire n’est pas « thérapie de conversion ». Et c’est là que le bât blesse, c’est là que pourrait commencer une désagréable chasse aux sorcières.
Attention à ne pas diaboliser systématiquement toute association ou personne qui œuvrerait dans ce but, ce serait alors diaboliser tous les thérapeutes, pasteurs ou prêtres dont la mission est l’écoute, la compassion, l’aide inconditionnelle. Certains groupes de parole existent, et ils sont équilibrés et sans emprise. Ils ont le mérite d’exister, et sont courageux ! Ils évitent un certain nombre de suicides et de dépressions graves.
Une personne homosexuelle qui retrouve -seule et de son propre chef, et après avoir parfois (mais pas toujours) reçu des conseils éclairés et éclairants, sans aucune pression ou emprise- son hétérosexualité latente, (ce qui fut mon cas à l’âge de 23 ans, après avoir milité dans le FHAR, le Front Homosexuel à Action Révolutionnaire -1975) ne devrait jamais être inquiétée et brimée, car :
– ce serait un viol et un abus psychologique
– ce serait infliger une double peine
– ce serait provoquer une tentative de suicide à moyen terme
– ce serait une avenue ouverte vers les addictions, les drogues, le chemsex, l’alcool, l’autodestruction dans des rapports non protégés
– ce serait une atteinte aux libertés individuelles
– enfin, de quel droit l’État ou les lobbies imposeraient-t-ils aux citoyens d’être hétérosexuel ou homosexuel ?
Malheureusement certains lobbies seraient prêts à faire voter une loi qui viserait ces personnes, et viserait leurs accompagnateurs, car de savoir qu’un homosexuel peut devenir (par décision et conviction personnelle seule, sans emprise ou influence même morale ou religieuse) hétérosexuel, les dérange, cela prouverait leurs extrémismes et leur étroitesse d’esprit, ceux qui sont en général propres à tous les lobbies.
Personnellement, j’ai pu rencontrer des milliers (oui des milliers) d’homosexuel(le)s ayant volontairement changé d’identité sexuelle, et qui vivent actuellement soit célibataires, soit en couple hétérosexuel. Ils sont assez heureux et épanouis.
J’en fais partie et ai eu 6 enfants et 9 petits enfants. Je suis pleinement heureux…
Si l’on ne fait jamais cas des milliers d’hétérosexuels qui deviennent homosexuels un jour, pourquoi alors cette intolérance obstinée et sectaire à ne jamais vouloir reconnaître que l’inverse est parfois vrai aussi ?
Si l’on ne fait pas cas du changement de genre (qui nécessite un long suivi psychologique), pourquoi cet acharnement suspect, et cette hétérophobie envers les personnes homosexuelles qui ont su développer leur hétérosexualité puis la choisir comme mode de vie ?
Pst Ph. Auzenet – Fondateur et Aumônier de l’association OSER EN PARLER – 28.09.2023