Le plaisir sexuel solitaire…

Plusieurs d’entre vous nous ont écrit, pour nous demander de dire clairement ici si le plaisir sexuel solitaire est une bonne ou mauvaise chose, et de la part d’un croyant, une faute ou non. Ce sujet est sensible, et son interprétation dépend de plusieurs facteurs. Les éléments de réflexion qui suivent laisseront le soin au lecteur et à la lectrice de réfléchir, puis de se forger une opinion toute personnelle et une ligne d’action. Ils n’auront pas pour but de leur dicter un comportement, celui-ci est laissé à l’appréciation et au discernement de chacun.

La Bible ne s’exprime que très peu sur le sujet, et le seul exemple (celui d’Onan, dans l’A.T.) n’est pas réellement représentatif de la question. C’est à chacun(e) de se laisser éclairer dans sa vie sexuelle, selon ce que lui dicte sa pensée intuitive, sa conscience, sa moralité, ses choix intimes et profonds, le respect de son corps, et sa relation personnelle avec Dieu. Nous vous laissons donc le soin de trancher la question, votre vie privée est la vôtre, et uniquement la vôtre… personne n’a le droit d’y interférer. Tout juste pouvons-nous vous proposer des éléments de réflexion à ce sujet.

A savoir…

L’autoérotisme est la première manifestation de la génitalité d’un enfant. Freud décrit quatre stades dans l’évolution de l’enfant : le stade oral où la bouche représente la principale zone érogène, le stade anal, le stade phallique et le stade génital.

La plupart des petits enfants se touchent les parties génitales, et c’est ainsi qu’ils découvrent leur sexualité. De 15 à 19 mois, ils se touchent le plus souvent en public. Après deux ans, 85 % donnent à cette activité un caractère exclusivement privé. De la réaction de leurs parents peut dépendre une bonne part de leur avenir sexuel. Ce sont bien souvent les parents et les adultes qui sont gênés par ces manifestations de la sexualité infantile.

Exemples de propos destructeurs des parents :

  • « Espèce de cochon, veux-tu arrêter ça ! » Et le parent se précipite sur le bras de l’enfant, pour le faire cesser. Il y a abus (psychologique, voire sexuel). L’enfant va alors faire un blocage dans le développement naturel de sa vie sexuelle…
  • « Si tu continues, tu vas devenir sourd ! » C’est du mensonge…
  • « Dieu ne veut pas que tu te tripotes ainsi, tu déplais à Dieu ! » L’enfant prendra la foi en Dieu en haine, il deviendra un adversaire de Dieu…
  • « Je vais le dire à ton père, nous verrons bien ce qu’il en pense ! » L’enfant va se mettre à détester son père, et à le fuir durant toute une période de temps.

N’oublions pas qu’il y a un siècle, les bonnes soeurs, en garde du dortoir des enfants internes, leur faisaient mettre les bras hors des draps, et contrôlaient leurs gestes afin de les empêcher de s’adonner au plaisir personnel. Bilan : la nuit, furtivement, tel ou tel enfant se levait en cachette pour amorcer des caresses communes dans le lit d’un autre enfant.

Mais il y a pire, et ceci était tout de même l’exception : en pleine nuit le prêtre ou le surveillant se choisissait un enfant, et le faisait entrer dans son boxe pour s’adonner à des attouchements ou à un viol forcés. Pédophilie notoire, devant laquelle le violeur s’empressait de donner l’ordre à sa victime de se taire, ou sinon…

Les activités ludiques manipulatoires des enfants envers eux-mêmes lorsqu’ils sont seuls n’ont rien de pervers ; elles sont naturelles, normales, et font partie de leur bon développement.

Chez l’adulte, c’est la poursuite de l’autoérotisme à tout prix, sans mesure ni limite, qui devient une situation préoccupante.

Définition

L’autoérotisme : c’est l’activité ayant pour but de se procurer du plaisir sexuel par la stimulation manuelle de ses organes génitaux et/ou d’autres zones érogènes, sans recours à un partenaire. La fréquence de ces épisodes varie d’un individu à l’autre. Parfois il y a utilisation de « sextoys » (jouets sexuels).

L’autoérotisme comprend également les fantasmes, ceux-ci jouent souvent un rôle important dans l’éveil du plaisir sexuel.

Cet autoérotisme demeure l’une des premières expériences sexuelles vécues par la plupart d’entre nous. Elle est notre premier contact intime avec notre corps et notre sexualité. Elle apparaît ainsi comme un prototype de la sexualité, comme une expérience primaire fondamentale, comme une étape maturative nécessaire.

L’enfant explore son corps et apprend à en tirer du plaisir. La plupart des enfants découvrent l’autoérotisme dans la toute petite enfance, et s’y adonnent ensuite plus ou moins. Bien sûr, il est important d’expliquer calmement à l’enfant que cette pratique se fait dans l’intimité, si on le voit le faire en public.

Certaines situations peuvent nous alerter. Si un enfant est anormalement excité sexuellement, s’il se touche constamment de manière particulière, violente ou répétitive, il faut penser qu’il a peut être subi des sévices sexuels et l’interroger dans ce sens. Il a pu aussi avoir contact avec la pornographie à un âge où il n’aurait pas dû (exemple assez fréquent de parents qui laissent trop facilement accessibles les supports pornographiques dans leur maison).

La plupart des personnes, hommes ou femmes, qui s’adonnent au plaisir sexuel solitaire régulièrement, disent qu’il leur procure des sensations agréables qui leur permettent d’éprouver moins de stress, et de se retrouver en intimité avec elles-mêmes. L’activité est comme un jeu sexuel. Pour certains, elle constitue même une méthode de relaxation ou de détente. Dans d’autres cas, elle sert aussi d’alternative, de « soupape sexuelle » lorsqu’un partenaire n’est pas disponible ou inaccessible, et lorsque la solitude affective et sexuelle est trop grande.

Souvent ceux qui se demandent s’ils passent trop de temps à cela, ont le sentiment de ne plus maîtriser leur pratique, c’est devenu compulsif, c’est réalisé par nécessité, avec peu de plaisir, la motivation n’est pas la satisfaction sexuelle, mais l’apaisement d’une tension dont la source est extérieure à la sexualité.

Cette activité compulsive est le signe d’un mal-être ou d’angoisses. Mais aussi de : timidité, complexes, solitude, repli sur soi, insécurité, manque de confiance en soi, mésestime de soi… La névrose peut conduire un adulte à continuer indéfiniment cette pratique solitaire avec l’âge.

L’autoérotisme représente pour les psychanalystes la forme la plus primitive des satisfactions sexuelles. C’est une notion qui a une très grande importance dans les conceptions de Freud, tout échec de l’érotisme vers l’autre entraînant secondairement un reflux de la tendance non satisfaite sur la personne du sujet. Les principales manifestations cliniques en sont l’autoérotisme et les fantasmes sexuels, c’est-à-dire les rêves ou les rêveries à contenu sexuel manifeste ou latent, qui accompagnent ou non le plaisir sexuel solitaire.

Quelques données…

En mars 2022, 80 % des hommes français âgés de 18 à 34 ans et 64 % des femmes françaises du même âge ont déclaré pratiquer et apprécier la masturbation. En examinant d’autres études, on peut affirmer que les hommes ont tendance à se masturber davantage que les femmes, ou tout du moins, à l’admettre. Toutefois, les jeunes générations, influencées par les thématiques féministes et le mouvement #MeToo, semblent être plus décomplexées quant à la sexualité des femmes. (

Une étude ancienne, faite dans le cadre d’un cours sur la sexualité humaine dans un Cégep (établissement d’enseignement collégial canadien francophone, où est offerte une formation technique et pré-universitaire) de la région de Montréal en 2002 relate ce qui suit (l’étude a été réalisée par un groupe de 12 étudiants masculins auprès d’environ 500 jeunes hommes âgés entre 18 et 25 ans dont 50 % fréquentait le Cégep. La scolarité de l’autre 50 % ainsi que le rang social du groupe n’ont pas été pris en compte dans cette étude).

L’étude montrait que 94% des hommes s’adonnaient au plaisir solitaire avant l’âge de 20 ans, avec une fréquence d’autant plus élevée qu’ils ont commencé jeunes, et que dans la plupart des cas, cette pratique continue toute la vie, mais est souvent réduite pour les hommes qui ont une activité sexuelle régulière avec un ou une partenaire – au-delà de 40 ans, un certain nombre d’hommes délaissent cette pratique.

Plus de 80 % des jeunes nous indiquent que leur façon de se donner du plaisir a changé en vieillissant. Au début ce n’était que pour un soulagement rapide qui durait souvent moins de 5 minutes. Les hommes de plus de 20 ans qui ont participé à l’étude mentionnent que, maintenant, leurs séances peuvent souvent durer entre 30 et 60 minutes dans le but de faire durer le plaisir.

D’autres études rapportent qu’un homme en bonne santé âgé de 18 ans ressent le besoin d’avoir un orgasme environ 4 fois par semaine. Cette fréquence diminue progressivement avec l’âge, surtout après 40 ans. Pour les hommes de plus de 60 ans, elle est de moins d’un orgasme par semaine. Ce chiffre n’est qu’une moyenne : concrètement, les variations individuelles sont importantes.

L’étude collégiale démontre aussi que pour plus de 80 % des hommes de plus de 16 ans, le fait de ne pas pouvoir s’adonner au plaisir solitaire lorsqu’ils en ressentent le besoin, engendre du stress et un comportement plus tendu.

Plus de 50 % des répondants mentionnent qu’ils essaient de se faire plaisir peu de temps avant certaines compétitions sportives, diminuant ainsi le stress. Un pourcentage sensiblement le même affirme le faire avant des présentations orales diminuant ainsi le stress mais pour 33 % des cas, ils le font afin de diminuer le risque d’avoir une érection spontanée et non voulue.

De plus, environ 60 % des répondants mentionnent que, lorsqu’ils le peuvent, surtout après une abstinence de plus de 48 heures, ils essaient de le faire avant de rencontrer leur partenaire lorsqu’ils savent qu’ils n’auront pas de relations sexuelles. Cela les rend moins susceptibles d’avoir des érections non voulues.

Près de 75 % affirment le faire par pur plaisir, tandis que les autres 25 % le font de façon automatique dans le seul but d’avoir un orgasme et ainsi de prévenir les érections spontanées. 65 % des répondants mentionnent que plus le temps entre chaque masturbation est long (au moins plus d’une journée) meilleur est l’orgasme obtenu. De plus, près de 90 % disent que le fait de prendre son temps lors d’une séance solitaire engendre une plus grande jouissance.

55 % des répondants qualifiaient leurs pratiques d’apprentissage, et l’ont fait de façon à contrôler leurs éjaculations le plus longtemps possible, soit dans certains cas pendant plus d’une heure. Le fait d’être au bord de l’éjaculation pendant des dizaines de fois durant cette période de temps crée un contrôle sur soi.   (Source : Wikipedia)

La pratique de l’autoplaisir sexuel chez les garçons adolescents

L’observation des réponses des adolescents de 12 à 17 ans aux questionnaires régulièrement soumis aux jeunes membres des sites Internet pour ados, dont certains forums traitent de la sexualité, fournit certainement l’image la plus juste de la vie sexuelle des garçons.

On y apprend ainsi que… – plus de la moitié des garçons ont découvert seuls le « mécanisme », souvent par hasard. L’âge médian de la première fois est de 12 ans. C’est à 13-14 ans que les garçons le font le plus (entre 10 et 20 fois par semaine).

De plus en plus de garçons se font plaisir devant leur ordinateur, en regardant des photos ou des vidéos pornos, ou en participant à des « plans cam ». A 13 ans, un garçon hétérosexuel sur cinq a déjà participé à des séances collectives, avec un ou plusieurs copains, tandis qu’un tiers des ados de 13-15 ans souhaiteraient tenter l’expérience.   (Source : Wikipedia)

Sujet délicat à aborder

Plusieurs mythes entourant l’autoplaisir sexuel prennent leurs racines dans l’histoire de la société occidentale. Un médecin nommé Tissot la condamnait au 18e siècle. Il présumait que le sperme jouait un rôle important dans le fonctionnement normal de l’organisme et que le gaspillage de ce liquide pouvait affaiblir les individus et provoquer des maladies. À l’époque, elle fut en fait rendue responsable de plusieurs maux tels que la tuberculose, l’impuissance, l’épilepsie, les troubles de vision et de l’ouïe, la perte de mémoire et les maladies mentales (la folie).

Cependant, bien avant cette époque et jusqu’au début du 20e siècle, toutes les activités sexuelles ne visant pas la reproduction, tant d’un point de vue moral que médical, étaient perçues comme déviantes et malsaines. L’autoplaisir sexuel était ainsi vu comme un vice pouvant affecter la santé physique, psychologique et morale de l’individu qui la pratiquait.

Ce n’est donc qu’au début du 20e siècle, par le biais de nouvelles théories sur la sexualité apportées par des auteurs comme Ellis et Freud, que tout ceci est devenu un sujet de débat public et scientifique. Ainsi, l’autoplaisir au cours de l’histoire est passé d’un statut d’anomalie à celui d’une pratique acceptable et «normale». Malgré le fait que les scientifiques sont, depuis plus d’une vingtaine d’années, tous d’accord pour dire que l’autoérotisme n’est ni dangereux physiquement ni psychologiquement, il demeure tout de même un sujet délicat à aborder.   (Source : Association des sexologues du Québec)

Trois types d’expériences

Douglas Weiss, dans son livre « Les hommes, le sexe et Dieu »[1], préconise qu’il existe trois types d’expériences au sujet de l’autoplaisir sexuel solitaire.

Celle « de type A », qui est le fait de personnes qui ne le font jamais, et cela existe. Selon eux, cela n’a aucun sens, et ils ne pensent vraiment pas à le faire… mais oui cela existe et c’est naturel !

Celle « de type B », pratiquée par des personnes qui n’ont pas de penchant pour la convoitise, n’ont pas de fantasmes, et n’éprouvent ni culpabilité ni honte après leur acte. Ils ne se servent pas de cela pour combler les besoins émotionnels de leur vie. Ils se soulagent de temps à autre, et passent ensuite à autre chose, un point c’est tout.

Enfin, celle « de type C », axée sur la convoitise et le plaisir à tout prix, et pratiquée par des personnes utilisant un support pour parvenir à leurs fins. Support qui peut être un fantasme ou un objet, ou un support visuel concret (pornographie). Parfois cela tend à développer certaines déviances sexuelles de toutes sortes. Il finissent par devenir prisonniers de leur excitation chimique et de la jouissance qu’elle leur procure, d’où une véritable dépendance ou addiction, dans un mode parfois compulsif. Certains croyants qui pratiquent cette sorte d’activité se sentent alors coupables, honteux et coupés de Dieu, et ont besoin de s’ouvrir de leurs difficultés à une personne de confiance.

L’origine du plaisir sexuel compulsif peut être lié à des angoisses existentielles non résolues, à un manque de caresses des parents durant l’enfance, à un manque d’assurance et de sécurité, à un désir de calmer au plus vite un malaise intérieur indéfinissable, une souffrance diffuse et inexpliquée. C’est en fait, la compensation quasi immédiate de la souffrance par le plaisir, dans un cycle comparable à celui de la toxicomanie. Ce plaisir sexuel compulsif s’accompagne souvent, de nos jours, d’un phénomène de porno-dépendance. Il peut être comme un rendez-vous quotidien pour provoquer sécurité, apaisement des tensions, pacification avec soi-même.

Alors, j’en fais quoi de tout cela ?

Fréquence, durée, accoutumance aux fantasmes, tendance à vivre des choses inavouables comme à l’état de rêve éveillé, dépendance à la pornographie sont à prendre en considération dans la vie d’un croyant convaincu, qui peut alors prendre la décision de diminuer progressivement puis d’arrêter, ou du moins de tout réguler.

Certaines personnes n’hésitent pas à dire que l’autoplaisir leur permet « d’avoir une relation sexuelle avec elles-mêmes », comme dans un miroir, et ressentent le besoin de le faire, même en étant mariées.

Douglas Weiss décrit plusieurs sortes de fréquence, selon l’intensité :

  • c’est occasionnel
  • c’est régulier mais sans fantasme
  • c’est régulier mais avec fantasmes, par périodes, par séries
  • c’est compulsif (on ne peut plus arrêter car on est dépendant)
  • c’est pratiqué de temps en temps et on est cependant en couple

La pratique de l’autoplaisir sexuel, chez le croyant adulte, peut ouvrir la porte à des obsessions, à des troubles du domaine de la pensée, où toute la vie se focalise ensuite sur la sexualité et tourne autour de cet axe, s’organisant en véritable culte d’adoration du plaisir sexuel solitaire, axé sur l’autosatisfaction, la satisfaction exclusive du « moi » égoïste.

Une dépendance qui peut prendre peu à peu la place de la vie spirituelle avec Dieu, fortement l’altérer voire la refroidir ou l’évacuer, à cause notamment d’une mauvaise gestion du sentiment de culpabilité. Il faut alors en parler à une personne qui saura recueillir les confidences et les garder pour elle, ne pas juger, et donner des conseils adaptés et réguliers dans le temps, et avec équilibre.

Les vraies questions à se poser en tant que croyant sont celles-ci :

  • qu’est-ce que je recherche personnellement dans cette pratique ?
  • quelles sont les conséquences réelles de cet acte dans ma vie au niveau psychique et spirituel ?
  • que me dicte ma conscience, mon intuition ?
  • quel choix personnel vais-je essayer à tout prix de respecter ?
  • suis-je capable de respecter ce choix, devant moi-même et devant Dieu ?

    suis-je tombé dans une perte totale de contrôle de ma vie sexuelle ?

    la faute n’est-elle pas dans cette perte de contrôle ?

Evitons les extrêmes : il ne faudra ni dramatiser, ni prendre trop à la légère tout ceci, dans tous les cas.

Et nous souvenir que le puritanisme (= rigorisme, austérité extrême) conduit à des déviations graves, et ce, dans tous les cas. A l’opposé, trop de liberté tue la liberté.

Le sexe virtuel

Pas mal de jeunes ont des relations sexuelles virtuelles avec un partenaire, que ce soit par sms, photos, vidéos ou webcam, sur téléphone portable ou ordinateur. Sans surprise, les plus jeunes, qui baignent tout naturellement dans un monde de plus en plus virtuel, sont ceux qui sont les plus familiers avec ces pratiques. Avec l’âge, la part des personnes ayant déjà eu des relations sexuelles virtuelles décroit. De plus, les hommes sont plus nombreux que les femmes à pratiquer ce type de relations sexuelles.

[1] Editions EPH, Canada
NDLR : une compulsion est un acte que le sujet est forcé d’accomplir sous peine d’angoisse, de culpabilité. Cet acte devient irrépressible, incontrôlable, et automatique. Il est relatif à une forte dépendance.

Phénix – Association OSER EN PARLER

Tous droits réservés – Copyright OEP – 2023

Toute reproduction partielle ou totale des écrits contenus dans ce site est soumise à l’approbation claire et explicite de l’association OSER EN PARLER (France) par écrit. Toute violation, toute déformation des propos dans un but destructeur et calomniateur sont soumis aux lois françaises en vigueur. Avocats et juristes (déjà sélectionnés) sont alors immédiatement contactés systématiquement, lorsqu’il y a soupçon de violation.