La « demisexualité », cette orientation sexuelle méconnue

La demisexualité, cette orientation sexuelle méconnue

Par Margot Nicodème Le 02 sept 2017 à 11h30

Les demisexuels n’envisagent pas de relation charnelle avant d’avoir établi un lien émotionnel fort avec une personne.

La sexualité est une notion fluide et en constante évolution. Certaines « catégories » n’ont plus lieu d’être quand d’autres restent encore largement méconnues comme c’est le cas pour la « demisexualité ». Les demisexuels ressentent une attirance sexuelle pour une personne seulement après avoir appris à la connaître. En d’autres termes, ils ont besoin qu’un lien émotionnel fort soit établi avant d’envisager d’avoir une relation charnelle.

Cette identité a été désignée dès 2008 par le Réseau pour l’Éducation et la Visibilité de l’Asexualité, mais elle commence à être reconnue depuis peu grâce au nombre grandissant d’individus qui se décrivent comme étant demisexuels. Comment savoir si l’on est concerné ? Beaucoup pensent initialement qu’ils sont particulièrement exigeants lorsqu’il s’agit de choisir un partenaire, et les interactions incluant un rapport de séduction les mettent parfois mal à l’aise, comme l’explique une utilisatrice de Reddit : « Je me mettais à l’écart et renonçais à me montrer sociable de peur d’être l’objet d’une pression romantique ou sexuelle de la part d’autrui. […] Lorsque quelqu’un me montrait de l’intérêt, l’anxiété m’envahissait, ce qui m’a empêchée de sortir ou de flirter avec quiconque quand cela se produisait ».

À l’opposé de la culture du « coup d’un soir »

Attention cependant, la demisexualité ne veut pas dire que la personne a une libido faible. La subtilité ne se trouve pas au niveau de la pratique du sexe en elle-même, mais bien au niveau de l’attirance sexuelle. Une autre utilisatrice du réseau social âgée de 23 ans et demisexuelle évoque une anecdote parlante : « Quand j’étais plus jeune, mes amies parlaient souvent des physiques avantageux des célébrités, et je ne comprenais simplement pas comment on pouvait être attiré par une personne que l’on avait jamais rencontrée ».

Elle dit également mépriser la culture du « coup d’un soir » et précise ne pas concevoir pouvoir « embrasser une personne rencontrée 5 minutes auparavant ». Il s’agit de prendre le temps de connaître un individu, jusqu’à avoir la certitude que celui-ci nous apprécie et nous estime à notre juste valeur. Cette orientation sexuelle est plus largement définie comme étant à mi-chemin entre l’asexualité et la sexualité, ce qui explique pourquoi certains demisexuels ne ressentent pas en eux une énergie sexuelle aussi développée que chez les autres.

La jeune femme conclut : « Quand je me sens attirée, c’est après avoir fait connaissance ou m’être assurée qu’il/elle me considère pour mon intelligence ou tout autre trait de ma personnalité ». Voilà qui est utile à savoir !

via La demisexualité, cette orientation sexuelle méconnue – Biba.

Maladies d’amour: les dépendances affectives

Le besoin d’être aimé est universel. Mais, s’il devient obsessionnel, cela peut cacher une dépendance affective. Ce trouble du comportement, souvent associé à la consommation de drogues ou d’alcool, trouve son origine dans la relation parent-enfant.

Elle court, elle court, la maladie d’amour… et elle devient parfois même une véritable obsession qui relève de la pathologie. La clinique Belmont, à Genève, est pionnière dans la prise en charge de ce trouble affectif qui trouve son origine dans la relation parent-enfant. La directrice de cet établissement, Sophie Nicole, relève dans le reportage que les dépendants affectifs sont dépourvus d’une base psychologique et émotionnelle qu’on appelle « secure ». La bonne nouvelle, c’est qu’on peut y remédier. 36,9° nous éclaire sur les différentes thérapies permettant une meilleure régulation émotionnelle.

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Hommes battus : des chiffres pour comprendre une réalité méconnue – LeMonde.fr

Ce sont des affaires dont on parle peu. Comme d’autres hommes, Maxime Gaget a été battu. Menacé et humilié par son ex-compagne pendant quinze mois, il a témoigné au procès de sa femme, jeudi 9 avril devant le tribunal correctionnel de Paris. Cinq ans d’emprisonnement ont été requis dans cette affaire où la procureure a évoqué une « inversion des rôles » avec une « femme bourreau et un homme victime ».

Pourtant, si les femmes restent, de loin, les premières victimes de violences conjugales, le cas des hommes battus ou maltraités est moins exceptionnel qu’on pourrait le croire.

149 000 hommes ont été victimes de violences au sein de leur couple en 2012 et 2013, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (qui s’appuie l’enquête de victimisation « cadre de vie et sécurité »).

398 000 Sur la même période, les femmes étaient toutefois bien plus nombreuses à se déclarer victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint et de leur ex-conjoint.

Un rapide calcul des victimes de violences conjugales montre que les hommes représentent donc 27 % des cas de violence conjugales et 17 % des cas mortels. La formule – tristement consacrée – : « Tous les trois jours, une femme décède sous les coups de son conjoint » peut toutefois son équivalent pour l’autre sexe : « Tous les 14,5 jours, un homme décède sous les coups de sa conjointe ».

Cette violence, plus taboue, est mal représentée par les statistiques. Les hommes en parlent moins, le déclarent moins. Quand 10 femmes sur 100 déposent plainte suite aux violences qu’elles ont subies, seuls 3 hommes sur 100 osent se tourner vers la justice, toujours selon l’ONDRP.

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«Plus les violences sexuelles ont lieu tôt dans l’enfance, plus leurs conséquences peuvent être lourdes à l’âge adulte» – 20minutes.fr

Après le choc, les séquelles. Les viols et les agressions sexuelles subies par les enfants peuvent avoir des répercussions tout au long de leur vie s’ils ne bénéficient pas de soins appropriés, comme le montre une étude* de l’association mémoire traumatique et victimologie avec le soutien de l’Unicef France publiée ce dimanche.

«Plus les violences sexuelles ont eu tôt dans l’enfance et plus elles sont graves, plus leurs conséquences peuvent être lourdes à l’âge adulte, car les enfants ont souvent subi des agressions répétées et ont moins d’outils pour se défendre que les adultes. Le fait qu’il s’agisse d’inceste est aussi un facteur aggravant, car la victime aura tendance à ne plus faire confiance à personne», commente le docteur Muriel Salmona, présidente de l’association mémoire traumatique et victimologie. Or, 81% des victimes interrogées pour l’étude déclarent avoir subi des violences sexuelles avant l’âge de 18 ans, dont 51% avant 11 ans. Et dans plus de la moitié des cas, leur agresseur était un membre de la famille.

Les flash-back traumatiques

Les séquelles de ces violences sont d’abord mentales. «Les victimes développent souvent une mémoire traumatique qui les amène à revivre à l’identique les violences subies. Lors de ces flash-back, elles éprouvent la même détresse, les mêmes douleurs», décrit Muriel Salmona. Et ces tortures psychologiques peuvent entraîner un désir de mort (éprouvé chez 78% des victimes interrogées), ce qui explique que 42% d’entre elles déclarent avoir déjà tenté de se suicider.

Après un tel drame, l’estime de soi est aussi en miettes «car les victimes ne se voient qu’à travers le regard de l’agresseur», précise Muriel Salmona. D’où des troubles anxieux, des troubles de la personnalité et des conduites à risques: «Les victimes vont par exemple se scarifier, multiplier les relations sexuelles, consommer de l’alcool ou se droguer, ou encore s’asseoir sur le rebord d’une fenêtre pour tenter de s’anesthésier émotionnellement», décrit le médecin. Avec des répercussions néfastes sur leur vie familiale, affective et professionnelle.

Des risques pour la santé à moyen et long terme

Des comportements qui vont avoir aussi une incidence sur la santé des victimes. A terme, les conduites addictives peuvent entraîner la survenue de cancers, de maladies auto-immunes, de problèmes pulmonaires ou de problèmes cardio-vasculaires. «Et l’état de stress extrême peut générer des problèmes de tension, des douleurs chroniques, des troubles musculosquelettiques, des troubles alimentaires et des pathologies psychiatriques», poursuit Muriel Salmona.

Autre conséquence plus méconnue: «certaines victimes développent une tolérance plus importante à la douleur physique, ce qui rend plus difficile le diagnostic de maladies. Sans compter qu’elles ont généralement moins accès aux soins, car certains examens médicaux sont insupportables pour elle. Difficile par exemple de consulter un gynécologue quand on a subi un viol», précise Muriel Salmona.

Mais dans ce sombre constat, il reste une lueur d’espoir. «Même des années après l’agression, on peut traiter les mécanismes psychotraumatiques de la victime et lui permettre de reprendre le cours de sa vie», insiste le médecin. D’où son appel aux pouvoirs publics afin qu’ils forment davantage de professionnels de santé à la prise en charge précoce des victimes de violences sexuelles.

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Education sexuelle : ces jeunes qui se tournent vers le porno – Rédaction Lifestyle – Blog – Be.com

Education sexuelle : ces jeunes qui se tournent vers le porno

Publié le 03 février 2015

En Angleterre, une nouvelle étude réalisée par la NUS (National Union for student) révèle que les jeunes se tournent davantage vers la pornographie et ses films pour apprendre sur le sexe qu’ils estiment ne pas connaître suffisamment. Décryptage.

L’étude en chiffres

Tout d’abord, sur les 2500 étudiants interrogés, les trois-quarts se tournent davantage vers leurs amis pour parler de sexualité contre un quart se renseignant sur NHS, le site national sur la santé en Angleterre. Il s’avère également que 60% des participants ont eu recours au moins une fois au porno pour s’éclairer à propos du sexe quand 40% déclarent que le porno les aide vraiment à à acquérir une meilleure compréhension globale de la sexualité et ses secrets. Mais ces chiffres sont tout de même loin des 75% de gens interrogés qui estiment que la pornographie est une vision irréaliste de la sexualité.

Mais alors, pourquoi ces étudiants nous disent qu’ils se servent de la pornographie pour s’instruire alors même qu’ils savent que ce n’est pas représentatif de la réalité ?

Le porno contre l’éducation sexuelle scolaire

La réponse à cette question est, selon l’étude, claire : les deux tiers des étudiants estiment qu’il est plus intéressant de regarder des pornos, même s’ils ne sont pas forcément synonymes de « vraie vie », que de prendre en compte les cours d’éducation sexuelle qui leur sont donnés. Cours pendant lesquels on aborde certes la contraception, les maladies sexuelles, la puberté mais c’est tout ! Deux tiers des personnes interrogées racontent que l’émotionnel, comme le consentement, n’a jamais été évoqué. Jack Wallington, directeur de la communauté des étudiants, nous dit que ce trou noir est donc compensé par les amis et les sites web. Sites web qui comprennent indéniablement le porno, vecteur d’images plus parlantes que de simples paroles.

Même si l’étude n’a pas été menée en France, nous pouvons être certaines que les réponses seraient identiques ou presque : le fameux cours de contraception avec une banane et les interrogations type « dessiner le sexe de l’homme » en classe de 4ème (pour mon cas) sont loin d’ouvrir les possibilités du jeune quant à sa propre sexualité. Et avec l’accès si rapide à l’internet, ces étudiants entrent sur un territoire sur lequel ils sont beaucoup plus à l’aise et davantage confiants.

Flora Jarret

@FloraJarret

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Fils de France » L’hypersexualisation : nos enfants sous influence.

Panneaux publicitaires, images télévisuelles, sites internet…Nous sommes de plus en plus bombardés d’images à caractère sexuel. Mais le plus troublant est l’hypersexualisation des enfants et des adolescents. Ce qui la caractérise sont les tenues provocantes et sexy, le maquillage et crème en tout genre en passant par les concours mini-miss, les mises en scènes érotisées sur internet.Influencées par les clips vidéo, la téléréalité et les magazines « people », ces jeunes filles et ces jeunes garçons se comportent comme des adultes et cela engendre chez eux un effet de normalité. Tous ces médias véhiculent un message : pour être populaire, il faut être « hot », dégager une énergie sexuelle.

Cette vision engendre un phénomène de mode inquiétant, tout est érotisé surtout les vêtements pour les jeunes filles voire les petites filles.Sharon Lam, psychologue et co-auteure de « Nos filles dans la mire du marketing », a étudié la façon dont les spécialistes des marketings et les médias représentent les filles aux filles magazines…, elles sont réduites à des stéréotypes dont celui de la sexualisation qui leur propose un modèle dont leur valeur dépend de leur apparence. Aujourd’hui, plus que jamais, les adolescents, les enfants sont devenus des cibles marketings. Ainsi, on assiste à un remplacement de la religion et de la spiritualité par les dieux de la consommation.De plus, ce qui alarme les professionnels de l’enfance est le fait que cette précocité des comportements sexualisés chez les jeunes ne soit pas accompagnée d’une maturité psychologique permettant l’évaluation des risques auxquels ils s’exposent.

Cela engendre une reproduction de codes adultes sans conscience ni maîtrise des conséquences qui se répercute sur leur santé troubles alimentaires, boulimie, anorexie…, sur leur psychisme baisse de l’estime de soi, mal être, dépression… et sur leur sexualité pratique à risque, harcèlement, voire agression sexuelle.Aussi, Internet a changé toutes les données, son accessibilité par les enfants de plus en plus jeunes occasionne une exposition précoce d’images à caractère sexuel dont la première vue les traumatise. La pornographie est une véritable atteinte à la dignité humaine.Il ne fait aucun doute que notre société se pornographie. Hier marginale, aujourd’hui elle est devenue une industrie imposante, elle est partout. Les codes pornographiques ont infiltré tous les domaines de notre vie. Le plus inquiétant est que les médias, puissants agents de socialisation, donnent par la répétition des messages, une impression que c’est ce qui est naturel, ce qui est normal voire obligatoire.

Elle est devenue une norme, un standard, floutant les relations amoureuses. Le jeu de séduction est devenu inexistant prendre le temps de se connaître, se prendre par la main, …. On nous pousse à consommer les relations amoureuses comme on consomme un paquet de biscuits.Ainsi, plusieurs formes de violence sont en jeu notamment la violence économique d’être exploitée en objet sexuel sans aucun égard aux effets nuisibles pour la santé. Mais, il y a surtout la violence politique de nos gouvernements qui refusent d’intervenir pour limiter ces excès du capitalisme et de règlementer ces industries pour éviter que nos enfants soient ciblés.Comment réagir à cette malbouffe télévisuelle, à ce matraquage médiatique quand on est parent ?

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Olivier Moulin / Accros au porno… même les femmes ! « Actu-Chretienne.Net

Des millions de gens dans le monde sont dépendants de la pornographie et la masturbation, au même titre que l’alcool, le tabac et autre drogue. Mais ce que l’on sait moins, c’est que…

…beaucoup de ces personnes sont des femmes, et même des chrétiennes…

Lorsque l’on parle de porno-addiction, on pense en général à un homme, jeune et célibataire. Pourtant, beaucoup de femmes sont littéralement esclaves de la pornographie.

Et non, le porno n’est pas qu’un truc de mecs ! Même si les hommes sont les plus concernés, le nombre de femmes accros aux films pornos est loin d’être négligeable. Elles ne peuvent s’empêcher de passer une partie de leur temps devant leur écran d’ordinateur. Ce mal les obsède et les tourmente. C’est une véritable souffrance qui les tue à petit feu.

La pornographie chez les femmes est un sujet très tabou et beaucoup d’entre-elles n’osent pas en parler, par crainte du ridicule, par peur de passer pour quelqu’un d’anormal, par peur d’être jugée, ou parce que, bien souvent dans les églises, nous avons été conditionnés à cacher les apparences pour projeter la fausse image d’un être parfait.

Je ne connais pas les statistiques françaises, mais selon une étude menée aux USA, sur 40 millions d’américains qui se rendent sur des sites pornographiques, 33 % sont des femmes. Et contrairement aux idées reçues, les films qu’elles regardent ne sont pas moins trash. Il n’y aurait pas de porno soft sous prétexte qu’elles seraient des femmes.

La pornographie féminine concerne les chrétiennes de toutes les catégories sociales et de tous les âges. Il y a même des femmes pasteurs ou évangélistes qui y sont accros. Parmi celles qui prêchent et occupent des fonctions importantes dans l’église, certaines vivent avec un lourd secret.

Je viens de lire un livre écrit par Shelley Hitz, «A christian woman’s guide to breaking free from pornography» («Un guide pour se libérer de la pornographie à l’intention des chrétiennes»), qui traite du sujet. Malheureusement, il n’est disponible qu’en anglais, mais je vous le recommande si vous parlez un peu l’anglais. Vous pouvez aussi visiter son site ou voir sa vidéo sur Youtube.

Shelley Hitz parle de sa propre expérience et nous pouvons saluer son courage, car il en faut pour oser parler publiquement de son ancienne habitude. Mais ce qu’il faut aussi noter, c’est qu’elle est fille de pasteur, qu’elle était mariée, remplie du Saint Esprit, et déjà une auteure à succès durant ses années d’esclavages.

Aujourd’hui, elle est sobre et ne regarde plus de pornographie. Elle admet tout de même être tentée par des fantasmes, mais la tentation n’est pas le péché. Elle reconnait cependant avoir encore besoin de l’aide du Seigneur, question masturbation, car la victoire n’est pas encore totale dans ce domaine.

La pornographie se définit par : «Une représentation graphique ou mentale à caractère sexuel par le moyen du dessin, de l’écriture, de la photo, du cinéma, ou de l’imagination».

Elle donne un certain nombre de conseils pour en sortir, mais elle admet que la vie avec Dieu ne repose pas sur des principes mécaniques, car chacun est différent. Elle apporte néanmoins des conseils qui lui ont été utiles. J’ai moi-même traité du sujet dans d’autres textes et je ne vais pas revenir dessus.

Mais une clé qu’elle recommande particulièrement est déjà d’avoir le désir sincère de vouloir s’en sortir. Pendant de nombreuses années, elle se rendait sur de mauvais sites et s’était accoutumé à son problème. Sa conscience ne la reprenait presque plus.

Le Seigneur a attendu toutes ces années jusqu’au point où elle dû, par elle-même, reconnaître son problème et en avoir marre. Le Seigneur ne pourra rien faire tant que vous n’aurez pas cette rage intérieure et le désir profond de vous en sortir.

Un autre conseil qu’elle donne est de se trouver une amie sincère et confidente. Vous pourrez lui confier votre problème, prier ensemble, et elle pourra suivre vos progrès… ou vos rechutes. Shelley Hitz dit qu’elles se retrouvaient une fois par semaine, et parfois une fois par mois.

Une autre chose qui l’a aidé est de se procurer des logiciels spécialisés. Ces logiciels, en langue anglaise, permettent de signaler à un ami partenaire les adresses des sites que vous fréquentez. Si vous consultez des sites pornos, votre ami, de son ordinateur, le saura.

Il en existe plusieurs : X3 watch free, Covenant eye, X3 wath pro. Le 1e est gratuit. Vous pouvez le télécharger sur ce site.

Enfin, elle admet que la délivrance a été un processus dans son cas, et que cela ne s’est pas produit du jour au lendemain. «Parfois, je faisais deux pas en avant, un pas en arrière, trois pas en avant, deux pas en arrière…» dit-elle.

Olivier Moulin, Pasteur

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10 questions sexo : Sexualité, oser en parler – Vidéo Dailymotion

Par Psychologies.com

La clé de toute relation amoureuse ? Une bonne communication, y compris en matière de sexualité. Mais comment parler à l’autre de ses envies ? Comment, parfois, oser dire non ? Les conseils d’Alain Héril, psychothérapeute et sexothérapeute.

Voir la vidéo : 10 questions sexo : Sexualité, oser en parler – Vidéo Dailymotion.